3 p'tits tours en terres d'Islam et on s'enfuit

Bien sûr, nous pourrions aller en Corée du Nord qui est à l'honneur aux USA et qui, loin des valeurs d'un Islam dévoyé, est une dictature d'une cruauté sans nom. Des camps dignes de ceux des Nazis y existent.

Mais en ce moment, en France, c'est le fondamentalisme musulman qui est en question.

De plus, les assassinats à Paris sont concomittants de barbaries bien plus épouvantables à travers le monde musulman.

Ce qui est tout aussi épouvantable, c'est que l'Occident ne fait rien pour protéger et sauver tous ces gens qui ne peuvent ni se défendre, ni résister, qui ne peuvent que fuir.

Ce sont au moins un ou deux génocides que nous laissons perpétrer. Il n'y a que la Chancelière allemande, il me semble, qui a parlé de génocide (elle n'a pas oublié l'histoire de son pays). Nos bombes ajoutent à la destruction sans sauver les gens. En Afrique, nous ne faisons rien du tout.

Ainsi, l'Europe, en particulier, aura laissé faire génocide après génocide, massacre après massacre :

1. Le génocide des Héréros et des Nama (1904-1907) par les Allemands, en Namibie (colonie allemande)
2. Le génocide des Arméniens par les Turcs, 1915
3. Le génocide des Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale
4. Le massacre de 8000 Musulmans bosniaques à Srebrenica; les Schtroumpfs, comme sont surnommés les Casques bleus dans le film No Man's Land, ne sont pas intervenus
5. Le génocide des Tutsies et le massacre de Hutu mal considérés des génocidaires.

En ce moment, nous laissons s'accomplir le génocide de populations entières par des cinglés ressurgis de l'Antiquité, en Irak, en Syrie et en Afrique (au Nigéria actuellement).

Il est vrai que nous avons également abandonné le Congo à ses bains de sang, malheureux pays au sous-sol convoité par ses voisins et que la colonisation belge avait déjà traité avec une barbarie qui laisse muet d'horreur.

Honte à nos gouvernements. C'est encore nous autres, gens ordinaires, révoltés par ces horreurs et démunis pour les empêcher, qui devront porter toute cette culpabilité, malgré nous.